dimanche 24 février 2019

FOSSILES

Cet article comprend les informations sur des espèces de Léviathans décédés actuellement, il s'agit de restes squelettiques de dinosaures. 

Ancien squelette fossilisé :

Le squelette d'un carnivore blindé datant d'un millions d'années. Les projections suggèrent que cette forme de vie aurait été plus grande que n'importe quelle créature vivante rencontrée sur la planète.

les océans de l'époque auraient été très différents pour pouvoir contenir des formes de vie de cette taille, avec une géographie plus ouverte et beaucoup plus d'individus de la gamme du Léviathan.

Fossile gargantuesque :

Les restes d'un prédateur apparement éteint. Sa taille insensée aurait dû lui interdire l'entrée dans un tel espace clos, ce qui suggère que la géographie de la planète s'est déplacée autour de lui au fil du temps. Un véritable superprédateur.

- Daté d'environ trois millions d'années.

- Les mesures des cages thoraciques suggèrent que la créature était en forme d'anguille.

- Les calculs suggèrent que ce n'est que le tiers avant du spécimen.

- Les restes supportent maintenant un microcosme dynamique vivant.

Remarque: il existe une série d'indentations angulaires précises sur la cage thoracique, suggérant qu'un tiers a prélevé des échantillons du spécimen dans le passé.

Spécimen de recherche Thêta :

Les restes du squelette d'un grand prédateur, hébergé dans un habitat artificiel.

1. Habitat
L'environnement construit pour loger le spécimen suppose qu'il a été gardé en vie et retenu à des fins d'études pendant des mois, voire des années. La matière organique indique que l'habitat a autrefois accueilli une végétation variée, bien qu'elle ait disparu depuis. Quand l'installation s'est éffondré, le spécimen a soit été abandonné sur place, soit tué sur le coup.

2. Évolution
Bien que son squelette partage certaines caractéristiques avec le mordeur et le requin des sables, y compris ses doubles orbites distinctifs, ce fossile est significativement plus grand et présente des avant-bras rarement vus chez les espèces aquatiques. Cette espèce a probablement disparu au cours de ces mille dernières années, et ses cousins évolutionnaires ont évolué presque au-delà de toute reconnaissance.

AMIBOÏDE

Amiboïde :

Un organisme simple et insensible, trouvé attaché à la terre avec des niveaux élevés de matières organiques fossilisées. Il s'en nourrit jusqu'à ce qu'il atteigne maturité, auquel cas il se divise pour créer deux nouvelles projénitures, génétiquement identiques, et le cycle se poursuit.

SPADEFISH

Spadefish :

Un herbivore commun, qui semble éviter les eaux peu profondes.

1. Oeil unique
Observé près du fond marin à partir duquel il peut garder un oeil sur les prédateurs vivant dans les eaux qui le surplombent.

2. Couleur vert tacheté
Fréquemment rencontré dans des environnements riches en plantes, le spadefish est bien adapté pour se camoufler dans la végétation.

3. Comportement
Les spadefishs ont tendances à se déplacer dans des bas-fonds libres et, malgré leur faible vitesse, prennent les mesures nécessaires pour éviter les prédateurs confirmés.

Analyse: comestible.

Oeuf de spadefish

SPINEFISH

Spinefish :

Petit poisson de proie, à mentalité de meute, cousin proche du poisson collier.

1. Coloration grise
Une combinaison de chair presque translucide avec des marques blanches semblables à des arètes donne à ce poisson une apparence de mort. Il en profite pour éviter l'attention de ses prédateurs.

2. Comportement
Se déplace en bancs pour se protéger, mais se dispersera et fuira si nécessaire, et ceux qui ont la chance d'échapper au regard de leurs assaillants se dirigent au fond de la mer pour se cacher parmi les détritus.

Analyse: comestible (faible quantité de calories).

samedi 23 février 2019

LARVE DE LAVE

Larve de lave :

Espèce semblable à un ver dépourvu de vision et d'odorat, mais peut détécter et drainer l'énergie thermale et éléctrique de son environnement immédiat.

1. Ventouse
Capable de se fixer à des surfaces lisses et d'exercer une puissante succion. Se détache s'il est séparé de la surface par une force suffisante.

2. Torse
D'épaisses écailles protègent contre les températures extrêmes. La larve de lave ne possède pas de système digestif traditionnel. A la place, elle dimente ses processus internes directement à partir de l'énergie qu'elle consomme.

3. Comportement
Attiré par tous les types de sources d'énergie. Pompe l'énergie de sa proie pour survivre.

Analyse: à éviter lorsque vous pilotez un véhicule - s'en débarasser pour économiser les batteries.

Larve de lave inféctée

RAIE SPECTRALE

Raie spectrale :

Cette espèce de raie s'est adaptée à des conditions d'eau profonde. Son corps est entièrrement protégé par une peau translucide et ses grandes ailes sont capables de la propulser avec une force considérable.

1. Chair empoisonnée
Comme pour les autres raies de 4546B, la chair de raie spectrale n'est pas comestible, ce qui en fait un des herbivores les plus résilients.

2. Comportement alimentaire
Elle se nourrit de matières végétales qui se sont déposées sur le sol dans des cavernes profondes.

Analyse: non comestible.

Raie spectrale inféctée

RÉGINALD

Réginald :

Un poisson-proie commun. Il filtre les algues et autres extraits végétaux à partir de l'eau via quatres orifices semblable à des branchies, situés à l'avant.

1. Couleur
Possède une coloration verte terne pour le camouflage en eaux profondes. L'aspect lumineux de la queue est sans-doute annonciateur de la période de reproduction.

2. Régime
Filtre les algues et autres matières végétales de l'eau par l'intermédiaire de quatre orifices orientés vers l'avant en forme de branchies.

Analyse: comestible (forte teneur en calories).

POISSON COLLIER

Poisson collier :

Petit poisson évoluant en bancs et utilisant une méthode originale de propulsion, il est un parent éloigné du pochon.

1. Antenne
Plutôt que d'utiliser la nage classique, cette forme de vie utilise les fines antennes vertes qui entourrent son corps pour modifier la composition de l'eau devant lui, ce qui lui permet de "naviguer" vers la zone de faible densité qu'il a créée.

2. Coloration violette / verte
Peut être une adaptation de camouflage pour les ondes lumineuses de longueur moyenne, indiquant que le poisson collier est probablemnt plus actif à l'aube et au crépuscule.

3. Comportement
Alors que les bancs de poisson collier se forment périodiquement et échappent aux prédateurs en masse, ce comportement est davantage social que défensif, et il est récurrent de trouver des poissons collier solitaires cherchant de la nourriture et affichant un comportement généralement curieux.

Analyse: comestible. 



BOOMERANG

Boomerang :

Un herbivore couramment rencontré. Se déplace en bancs dans les eaux peu profondes.

1. Dents pointues
Semblent indiquer que la créature s'est adapté dans le broyage de coraux, que les autres herbivores sont incapables de digérer.

2. Nageoires jumelles
les deux nageoires de cette espèce sont des extensions cartilagineuses de son squelette, ce qui est inhabituel. Elles sont plus résistantes et fournissent une propulsion supérieure, mais repoussent également plus lentement. Les extrémités de son tube digestif, où la luminescence des coraux qu'il consomme est la plus concentrée.

Plus actif pendant la journée, et susceptible de fuir lorsqu'il est approché. Le boomerang peut être plus facilement observé la nuit lorsque sa luminescence le trahit et qu'il cherche l'abri des fonds marins.

Analyse: comestible.

LÉVIATHAN FANTOME


Cet article comprend à la fois les informations concernant le Léviathan fantôme jeune (juvénile) et le Léviathan fantôme adulte.





Jeune Léviathan fantôme :

Ce grand prédateur s'est adapté pour vivre dans les eaux profondes et les système de grottes sombres, s'attaquant à tout et n'importe quoi dans sa quète pour grandir.

1. Torse
La membrane externe souple et le corps allongé permettent une navigation supérieure dans les environnements de grottes étroites. Affiche des similitudes avec d'autres prédateurs ressemblant à des anguilles dans la région, mais le Léviathan fantôme a recouvert les pointes éléctriques sur son torse intérieur d'une membrane lisse et transparente qui offre une maniabilité supérieure.

2. Régime alimentaire
Dans on état juvénile, ce Léviathan se nourrit d'herbivores plus grands, et de membres malheureux de sa propre espèce. Ils affichent un taux de croissance remarquable qui ne montre aucun signe d'arrêt, ce qui suggère qu'ils doivent abandonner leurs zones d'éclosion avant de trouver davantage de zones d'eau ouvertes.

Analyse: éviter.

Léviathan fantôme :

Cette créature se rapproche de la limite de taille pour les formes de vie organiques durables, et a été classifié dans le groupe des Léviathans. Les adultes de l'espèce ont étés rencontrés exclusivement aux abords du cratère volcanique qui supporte la vie sur cette partie de la planète et se montrent extrêmement agressifs envers les créatures qui s'en approchent.

1. Tête en marteau
Les extensions cartilagineuses du crâne de la créature formnet un marteau qui protège le Léviathan fantôme alors qu'il effectue des charges dévastatrices.

2. Mâchoires
Tout en étant capable de déchirer la chair de toute créature à portée, tout indique que les Léviathans matures se nourissent de formes de vie microscopiques dans les eaux autour des limites de la zone habitée. Leurs vicieuses attaques sur les intrus dans leur domaine ne sont pas prédatrices, mais territoriales. Une créature si vaste nécessite une énorme étendue d'eau pour satisfaire ses besoins caloriques quotidiens.

3. Torse
L'intérieur fortement musclé de son corps est entouré d'une membrane externe translucide, ce qui suggère une adaptation aux environnements profonds et à faible luminosité. Lorsqu'il est menacé, il peut contracter tout son corps avant d'attaquer avec une vitesse incroyable.

4. Cycle de vie
Comportement migratoire probable. Ce spécimen est probablement né loin de la zone où il a été rencontré.

Analyse: menace extrême - éviter le bord du cratère.


Léviathan fantôme infécté



RAIE LAPIN

Raie lapin :

Une forme de vie aquatique herbivore, les raies lapin semblent vivre une vie sereine et solitaire, avec peu de prédateurs, un sens de la curiosité naturel et une chair extrêmement toxique.

1. Oreilles
Deux appendices jumeaux oranges sont situés sur la tête et ressentent les vibrations dans l'eau.

2. Ailes ondulantes
Une méthode de voyage particulièrement similaire aux raies terrestres. Aucune ressemblance génétique détéctée, ce qui suggère que ces deux espèces ont développé des solutions similaires aux même circonstances environnementales indépendamment.

Les observations indiquent que les deux grands yeux de la raie lapin situés sur les côtés de la tête sont des adaptations relativement récentes. Il est vraisemblable qu'il y ait d'autres espèces de raies dans d'autres biomes environnementaux de la planète.

Analyse: immengeable mais inoffensive.


Raie lapin inféctée
Oeuf

vendredi 22 février 2019

POCHON

Pochon :

Cet herbivore peu commun semble quasiment sans défense et présente peu de similarités avec les autres formes de vie de la région.

1. Vessie semi-perméable
Le pochon est capable de filtrer l'air et l'eau de mer dans sa cavité corporelle à travers une membrane unique en son genre, qui entoure la colonne vertébrale comme une vessie. Elle lui permet d'extraire et consommer les particules organiques qui la traversent, ainsi que d'ajuster sa flottabilité.

2. Système vasculaire ouvert
Peut être incliné et contracté pour expulser de l'eau et obtenir une faible propulsion dirigée.

Indifférent aux prédateurs qui l'entoure, et quasiment immobile la nuit, son seul mécanisme de défense identifié est qu'il n'est composé quasiment que d'eau, d'air et de cartillage.

Analyse: comestible (de l'oxygène peut être récupéré de la vessie et intégré dans les bouteilles au moment de l'ingestion); la membrane peut être utilisée comme filtre à eau naturelle.

NEUNOEIL

Neunoeil :

Une adaptation évolutive extrême où 90% de la masse corporelle est dédiée à la cavité oculaire.

1. Globe oculaire surdimensionel
 Les anneaux dans sa lentille suggèrent une spécialisation pour identifier ses prédateurs dans les environnements à faible luminosité, bien avant qu'ils ne se trouvent à distance d'attaque.

2. Nageoires sous développées
Incapables de se déplacer rapidement, cette espèce est vulnérable aux prédateurs agiles à courte distance. Les espèces de requins ont peut-être développé des techniques de chasse pour se jeter sur les neunoeils, sans qu'il puisse les voir par dessus, par dessous ou par derrière.

Cet organisme et le peeper commun partagent un ancêtre évolutionnaire commun. Alors que le neunoeil a sacrifié la maniabilité, il partage et améliore la puissante vision de son cousin. Le "peeper alpha" ancestral a peut-être été l'une des premières formes de vie sur 4546B à développer une vision, il y a plusieurs millions d'années.

Analyse: comestible (faible teneur en calories).

HOLEFISH

Holefish :

Un très petit herbivore trouvé en petits noombres, souvent autour d'un système d'entrées de grottes où la couleur de leur peau se confond avec le décor.

1. Nageoire arrière trouée
En manipulant la taille et la forme de l'orifice dans sa queue, il peut effectuer des manoeuvres imprévisibles.

2. Taille
Plus petit que la plupart des autres herbivores, vraisemblablemnt en raison du manque de végétation dans les environnemnts à faible luminosité.

Analyse: comestible.

GARRYFISH

Garryfish :

Herbivore lent et curieux, son camouflage suppose qu'il s'est adapté en adoptant un comportement évasif sur le fond de l'océan.

1. Tiges oculaires
Peuvent être bénéfiques pour surveiller les prédateurs tout en restant caché parmi les coraux.

2. Comportement
Plus actif pendant la journée, mais lent et docile à toute heure, la survie de l'espèce dépend d'un ensemble alliant camouflage, et de prédateurs qui peuvent obtenir un repas plus nourrissant ailleurs.

Analyse: comestible

RAIE MÉDUSE

Raie méduse :

Cette espèce s'est adaptée aux environnements à faible luminosité avec un corps translucide et luminescent.

1. Corps luminescent
Cette adaptation peut aider à éclairer la zone environnante afin de rechercher la nourriture, éloigner les prédateurs et identifier les organismes aux autres membres de son espèce.

2. Sensibilité à la lumière
Des créatures plus petites ont étés vues nagenat dans le sillage de la raie méduse pour profiter de la source lumineuse à leurs propres fins, et la raie elle-même s'approchera des sources lumineuses, les prenant peut-être pour d'autres spécimens de son espèce.

Analyse: non comestible.

Raie méduse inféctée
Oeuf de raie méduse

RAIE CÉLESTE

Raie céleste :

La raie céleste a une tête bleue semblable à celle d'un oiseau, et des ailes recouvertes de plumes qui lui permettent de voler. Cette espèce est rencontrée le plus souvent survolant des structures flottantes, et ne s'aventure que rarement vers le grand large. Elle se perche sur la terre ferme, mais vont généralement s'enfuir quand elles sont approchées.

1. Ailes
Si ses ailes lui donnent une vague ressemblance avec la silhouette des raies aquatiques de 4546B, les analyses montrent qu'il n'existe pas de différence plus grande entre les deux familles d'espèces qu'entre les autres de la planète. La raie céleste semble en fait s'être séparée de l'arbre évolutionnaire plus tôt que les autres espèces.

2. Régime
Principalement à base de graines. Les raies céleste n'ont pas été observées plongeant pour récupérer de la nourriture, ce qui implique qu'elles comptent sur les plantes poussant à l'air libre pour leur alimentation.

Analyse: leur présence peut indiquer la proximité de la terre ferme. 



SANGSUE

Sangsue :

Un simple organisme parasite, guère plus évolué qu'une tique ordinaire spatiale mais tout aussi vulgaire.

1. Poche ductile
Utilisée pour la collecte et la digestion du sang retiré aux créatures hôtes.

2. Mâchoire
Composée de plusieurs rangées de dents et de mandibules utilisées pour s'accrocher à la peau de ses victimes.

3. Comportement
La faible vitesse et la pauvre défense de la sangsue suggèrent qu'elle a évolué principalement en se nourrissant de charognes mais est aussi encline à cibler les créatures plus grandes qui sont moins susceptibles d'en prendre conscience et de se débarasser de ce parasite.

Analyse: incommode et antihygiènique - à éviter ou à neutraliser.  


RAMPANT SANGUINAIRE

Rampant sanguinaire :

Un charognard agile et territorial qui se déplace en groupe sur le sol marin. Cousin proche du rampant des cavernes, mais adapté aux conditions de mer profonde.

1. Pattes
La plus grande différence entre les rampants sur 4546B sont les quatre jambes qui s'étendent à plus d'un mêtre du torse du rampant sanguinaire, lui permettant de se déplacer à vitesse surprenante sur le fond marin, et même d'escalader les murs.

2. Torse
Le rampant sanguinaire peut abaisser tout son corps afin d'amener ses mandibules à portée de la charogne dont il se nourrit tout en conservant la maniabilité nécessaire pour éviter ses prédateurs.

Analyse: recycleur nécessaire de déchets - à éviter ou neutraliser.

Rampant sanguinaire infécté



TRIOPS

Triops :

Un alimentateur de fond efficace avec une vision trioptique inhabituelle. 

- Les parties de la bouche sur le dessous de l'aspirateur se lèvent et craquent vers le bas sur de petits invertébrés sur le fond marin.

- Passe une grande partie de son temps à se cacher des prédateurs au-dessus de lui et camouflé pour se fondre dans la glace environnante quand il le faut.

Les yeux orientés vers l'avant sont inhabituels chez les créatures, pas moins de trois d'entre elles. Cependant, chaque œil est légèrement incliné vers l’extérieur, ce qui confère aux triops un champ de vision de près de 240 degrés. L'utilisation prudente de cette faculté puissante est probablement ce qui a maintenu les triops en vie jusqu'à ce jour.
 
Analyse: comestible.

jeudi 21 février 2019

REQUIN-CALMAR

Requin-calmar :

EncyDesc_Squidshark

SINGE DE MER

Singe de mer :

Herbivore de taille moyenne et intelligent, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre cette forme de vie. 

- Les singes de mer parcourent l'océan de manière presque ludique, sans peur des prédateurs et du laisser-faire en matière de ressources.

- Connu pour montrer un intérêt intense pour d'autres formes de vie. 

- Forme de petits nids où ils amassent des objets d’intérêt.
 
Analyse: enquêter avec prudence.

PINGOUIN

Pingouin :

Créature ressemblant à un oiseau, chasse les petits poissons sous l'eau, se blottit dans des sacs sur la glace au-dessus. 

- Consomme de petites proies et les régurgite pour ses petits.

- Queue luminescente rétractable et détachable pour une évasion rapide des prédateurs.

- Les dents pointues cachées à l'intérieur du bec sont défensives, utilisées pour arracher des morceaux d'agresseurs.
  
- Se blottit dans des sacs à la surface pour se protéger du froid.

Analyse: moins câlins qu'ils n'en ont l'air.

JEUNE PINGOUIN

Jeune pingouin :

Les jeunes pingouins ont tendance à se blottir sur la terre ferme en attendant leur prochain repas. 

- Consomme presque exclusivement du poisson régurgité par les adultes dans l'entourage.  

- Ils restent au centre du groupe pour rester au chaud et à l'abri du vent. 

- Séparés du groupe, les adultes s'agiteront et commenceront à chercher leurs jeunes pingouins. Ne faites donc pas cela !

Analyse: inoffensif.

NOOTFISH

Nootfish :

Un petit prédateur qui élimine le besoin de vaincre sa proie en l'avalant tout entier. 

- Grâce à ses marques colorées, le nootfish peut facilement passer pour un petit herbivore, ce qui lui permet de se faufiler sur sa proie. 
  
- Ce qui ressemble à un bec est en fait une seule lèvre intensible et extensible, bordée de dents en forme de barbe. 

- Une fois à portée de main, il enveloppe sa proie et la tire dans son estomac avant de se retirer pendant plusieurs semaines pour digérer son repas.

Analyse: inoffensif.


RAIE ISOCÈLE

Raie isocèle :

Une espèce de raie relativement petite capable de manœuvres évasives rapides. 

- Se nourrit de plancton.

- Les nageoires sur sa tête forment un triangle isocèle, qu’il peut incliner pour effectuer des manœuvres rapides et imprévisibles. 

- Les bouts avant nets des ailerons sont capables d’attaquer les attaquants qui parviennent à rattraper.

Analyse: inoffensif.

 

PEEPER ARCTIQUE

Peeper arctique :

Un poisson de proie rapide, camouflé contre la glace.
 
Notes du chercheur: "Vous n'aimez pas le nom généré automatiquement. Suggère: Iceclops."
 
Analyse: comestible.

PEEPER

Peeper :

Un poisson de proie rapide rencontré dans les eaux peu profondes et riche en protéines.

1. Yeux latéraux développés
Capable de discerner les couleurs non seulemnt dans les eaux peu profondes, mais dans une variété de conditions d'éclairage. Il est également capable de fermer ses paupières, empêchant ainsi la lumière de se refléter sur ses lentilles, ce qui rend le peeper presque invisible aux prédateurs nocturnes.

2. Puissantes nageoires
Cette espèce a développé des nageoires puissantes qui permettent une accélération rapide dans l'eau calme, et la capacité de bondir à plusieurs mêtres dans l'air pour éviter les poursuivants.

3. Bec
Probablemnt utilisé pour briser les coraux et les végétaux solides. Une cavité nasale inhabituellement large ne sert à rien et semble s'être spécialement développée pour détécter une seule enzyme spécifique. Rien de rencontré jusqu'à présent sur la planète ne produit une odeur correspondante.

4. Tubes d'expulsion
Le stubes attachés au torse du peeper sont connéctés directement à son estomac et ses branchies, et semble être conçues pour expulser son contenu à la demande. Son objectif n'est pas clair.

Alors que le peeper est bien adapté pour survivre dans les eaux peu profondes, un certain nombre de ses caractéristiques n'ont pas de but discernable. Il semble être aussi bien adapté pour survivre dans les eaux plus profondes, et est un peu plus intelligent que le petit herbivore actuel.

Analyse: comestible (forts apports caloriques), recherches supplémentaires requises.

RAIE POURPRE

Raie pourpre :

Une des plus grandes raies sur la planète, montre généralement un comportement docile.

1. Écailles épaisses
Les écailles formées sur la peau protègent cette raie des températures extrêmes, lui permettant de survivre dans des zones non peuplées par des charognards concurrents.

2. Yeux remontés vers l'avant
Suggère une histoire évolutionnaire prédatrice, laissée derrière elle il y a longtemps.

Analyse: non comestible.

Raie pourpre inféctée

OCULUS

Oculus :

Ce spécimen partage des similitudes génétiques avec le peeper commun. Si les eaux peu profondes et les systèmes de grottes sont seulement séparés par quelques mètres de roche, les aliments et les risques dans chaque biome sont complètement différents. Il est possible qu'un petit banc de peepers ait été coincé dans les grottes, et l'espèce oculus est le résultat de leur adaptation.

1. Vision nocturne très développée
De grands globes oculaires complèxes procurrent à cet herbivore une excellente vision dans l'obscurité et une phobie intense de la lumière.

2. Manque de bec
Alors que le peeper utilise son bec pour décomposer les coraux durs, l'oculus se nourrit probablemnt de la croissance fongique molle des cavernes de gelée et n'a donc pas besoin de bec.

3. Nageoires arrières séparées
Les grottes dans lesquelles vit l'oculus rendent difficile l'évasion lors d'attaques de prédateurs rapides. L'oculus s'est adapté en divisant sa nageoire caudale en cinq tiges séparées. Ces tiges l'empèchent de nager aussi vite que son cousin de l'extérieur, mais chacune peut être détachée et repousser plus facilemnt lorsqu'il se fait attraper.

Analyse: comestible.  

POISSON-TORPILLE

Poisson-torpille :

Cette espèce inhabituelle a développée un mécanisme de défense d'urgence basé sur une destruction mutuelle assurée.

1. Oeil monté en avant
Permet à la créature d'identifier et de suivre les prédateurs potentiels.

2. Nid de soufre
Le nid de soufre a évolué pour se nourrir de composés sulfuriques sécrétés par le poisson-torpille, qui fait son nid dans ses feuilles. Des plantes plus résistantes et plus protectrices fournissent des aires de nidification supérieures, ce qui fournit à la plante davantage d'éléments nutritifs provenant des plus gros poissons.

3. Mécanisme de défense
Les concentrations de soufre s'accumulent dans l'organisme au fil du temps. Si le poisson heurte quelque chose à une vitesse suffisante, les pointes sur son torse seront afféctées, déclenchant une réaction chimique explosive.

Analyse: équipez-vous d'un fusil à stase ou d'un canon à répulsion avant de vous approcher des grottes peu profondes. 

Oeuf de poisson-torpille

CALMAR-CRABE

Calmar-crabe :

Ce grand prédateur peut être trouvé dans les eaux profondes, où il se cache parmi les algues et les arbres cerbrane à la recherche de proies. Il peut déployer une puissante impulsion éléctromagnétique pour se défendre.

1. Membres
10 membres ont des appendices différents pour nager, marcher, chasser et peut-être même utiliser des outils. Les créatures attrapées sont expertement dépecées et rapidement consommées.

2. Comportement
Les raies et les autres herbivores lumineux sont ses proies usuelles, et il va s'en approcher et attaquer toutes les sources lumineuses à portée. Son explosion IEM a probablement été développée comme une réponse à la prédation par les créatures avec des mécanismes de chasse éléctriques.

3. Intelligence
Si les calmar-crabes donnent l'impression d'avoir un grand cerveau, de ressmebler aux calmars intelligents de la Terre, l'organe à l'intérieur de sa tête de la créature est en fait son estomac, qu'il doit remplir avec une régularité saisissante.

Analyse: neutralise les équipements éléctriques - les lumières attirent son attention (non désirée).

Calmar-crabe infécté
Oeuf de calmar-crabe


RÔDEUR

Rôdeur :

Un prédateur émincé rencontré dans les fôrets d'algues en attente d'une proie qui quitte la sûreté des bas-fonds pour se nourrir. Le rôdeur a vraisemblablement placé sa niche évolutionnaire à l'endroit idéal entre la vitesse et la taille il y a des millions d'années, et pourrait être l'une des espèces les plus anciennes de la planète.

Le rôdeur semble être attiré par les dépôts de titane, qui lui servent à aiguiser et appliquer de la pression sur ses dents.

Comme avec beaucoup de prédateurs, il peut être possible de distraire les rôdeurs affamés en les nourrissant.

1. Dents
Les dents du rôdeur sont inhabituellement dures, et poussent très vite. Son museau allongé peut délivrer une énorme pression pour mordre les assaillants plus grands, mais peut aussi être utilisé pour attraper les petits herbivores qui se cachent dans des refuges à l'intérieur des rochers.

2. Vision de nuit
La stratification rétinienne sur le globe oculaire suggère une adaptation pour la chasse de nuit.

3. Arêtes dorsales
Ces arêtes peuvent être bougées de manières indépendante afin d'offrir une manoeuvrabilité maximale.

4. Nageoires pelviennes
Longues et puissantes, le rôdeur a évolué avec pour objectif de chasser les proies les plus rapides.

Analyse: les dents du rôdeur pourraient avoir une utilité dans la fabrication de verre émaillé.

Rôdeur infécté

Oeuf de rôdeur